Et si vous aviez juste à vous réconcilier ?
Il y a des moments dans une vie où tout semble fonctionner...
- Le poste est là.
- Le respect aussi.
- Le savoir-faire est solide.
Pourtant à l’intérieur, quelque chose se met à murmurer.
Un doute discret.
Un vide flou.
Ou simplement une envie de faire autrement.
Ce n’est pas un problème de compétences.
Ce n’est pas un manque d’ambition.
Ce n’est pas un effondrement.
C’est un appel.
Celui de revenir à soi.
À ce qu’on n’a plus écouté depuis longtemps.
À ce qu’on a laissé de côté, sans même s’en rendre compte, pour avancer, tenir, performer.
Ce que vous ressentez n’est pas un “trop”
Ce n’est pas un excès de sensibilité, d’émotion ou de questionnement.
C’est un appel à réconciliation.
La plupart des femmes que j’accompagne sont exactement là. Elles sont à la fois bien dans leur vie et se questionnent sur la suite.
Elles sont solides, hyper compétentes et habituées à mener, à décider, à gérer.
Elles sont aussi fatiguées et ont envie d'autre chose, de vivre autrement, de ralentir parfois.
Il ne s'agit pas de vulnérabilité ni de surmenage ponctuel.
On parlera plutôt d'un mode de fonctionnement intérieur qui ne les nourrit plus, qui ne leur permet plus de s'épanouir pleinement.
Elles sont à une période charnière
Elles ne veulent plus simplement “tenir”, gérer.
Elles veulent être, différemment, plus présentes, plus vivantes.
Elles sentent bien que leur force ne réside plus dans l'action, la gestion.
Elles souhaitent retrouver la tranquillité d’être à leur juste place et épanouies.
Et pour cela, il faut souvent déconstruire sans tout casser.
Revenir à ce qu’on a mis de côté depuis si longtemps.
Ce qu’on a appris à :
- contenir,
- arrondir,
- faire taire.
Et si nous parlions maintenant de réconciliation
Voici quelques questions pour commencer ce chemin en vous :
- Qu’est-ce que j’ai mis de côté pour avancer ?
Un désir ? Une voix ? Une émotion ?
Ce que vous croyez avoir “oublié” est toujours là. En attente. En silence. - Où est-ce que je me sens encore en décalage avec moi-même ?
Dans mes prises de parole ? Mes décisions ? Mon rythme ?
Le malaise ne vient pas de l’extérieur. Il vient de l’espace entre ce que je suis… et ce que je crois devoir montrer. - Et si je n’avais plus besoin d’être crédible ? Et que je pouvais juste être vraie ?
Quand vous cessez de chercher à faire bonne impression, vous commencez à faire impression profondément. - Qu’est-ce que je veux honorer en moi cette année ?
Pas ce que je veux faire. Ce que je veux incarner.
Réintégrer ces côtés de vous qui ont été exilés
Ce chemin n’a rien à voir avec la performance personnelle.
C’est plutôt un voyage qui amène :
- le recul,
- la reconnexion,
- l'autorisation :
- Autoriser votre part intuitive,
- Autoriser la femme fatiguée,
- Autoriser la voix qui tremble, et qui dit juste,
- Autoriser le besoin de ralentir, de sentir, de vivre autrement.
Il ne s’agit pas de devenir quelqu’un d’autre.
Il s’agit de redevenir entière.
Il s'agit d'être soi.
Ce que j’ai moi-même vécu
J’ai traversé cette transition de cadre, manager, chef de projet dans des entreprises structurées, rationnelles, très performantes, à un espace d’écoute plus subtil, plus incarné, plus vivant.
Cela n’a pas été un virage brutal.
Cela s'est fait peu à peu comme :
- un effeuillage,
- une série de moments qui remontent, qui se sont imposés à moi,
- des vérités qui se conscientisent,
- un besoin de ne plus me contenir dans une posture, aussi solide soit-elle.
J’ai dû, moi aussi, revoir ma définition du leadership, d'autant que je n'avais, à priori, pas la même que celle attendue dans ces entreprises.
Ainsi, j'ai dû :
- passer du contrôle à la clarté,
- de la stratégie à la présence,
- du “tenir” au “soutenir”.
Nous ne sommes pas seul(e)s
Quelques chiffres issus d'une étude menée par Harvard Business School :
- 25% des dirigeants jugent que leur état de santé s’est fortement détérioré ces dernières années
- 75% des dirigeants estiment que leur stress est nuisible pour leur santé
- 52% des dirigeants déclarent souffrir du dos
- 15% de dirigeants s’estiment en risque de burn-out.
- 73% des managers se sentent, la plupart du temps, distraits mentalement, perdus dans leurs préoccupations et leurs pensées
- 65% échouent à mener à bien leurs taches à cause de cette charge mentale
- 67% ressentent des signes de burnout au travail
Cela ne parle en aucun cas ni de leurs compétences, ni de leurs capacités.
Cela dit quelque chose du cadre dans lequel ils évoluent et sur le désalignement croissant entre la tête, le corps et le cœur.
- Comment pourrions-nous incarner sur la durée un leadership impactant et inspirant dans ces conditions ?
- Comment pourrions-nous continuer à inspirer, encadrer, impacter… si nous sommes coupées de nous-mêmes ?
Alors si vous sentez qu’un chapitre est en train de se fermer… et que vous avez envie d'en ouvrir un autre
Si vous sentez qu’un appel plus intérieur, plus doux, plus vrai vous traverse…
C’est peut-être le moment de créer votre propre espace de réconciliation.
Car Revenir à soi, ce n’est pas se détourner de son ambition.
C’est choisir de l’incarner autrement : avec clarté, calme, justesse.
- Et si vous n’aviez plus à vous contenir pour rester crédible ?
- Et si vous pouviez enfin habiter pleinement ce que vous ressentez, ce que vous savez, ce que vous êtes ?
Prenez un instant.
Écoutez ce que ce texte fait bouger en vous.
Et posez-vous cette question :
Qu’est-ce que je veux me permettre aujourd’hui, que je ne me suis pas encore autorisée ?
Si vous avez envie d’un espace pour explorer cela, de façon incarnée, ajustée, respectueuse de votre rythme :
Écrivez-moi « Connexion ». Nous verrons ensemble ce qui pourrait vous convenir.
Un accompagnement 1:1, un cercle, un espace pour rayonner… chaque chemin commence par un pas.
Je vous souhaite ce pas. Pour vous.
Pas pour vous transformer.
Pour vous retrouver.
